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FIRI : Force Interarmées de Réaction Immédiate

(version française plus bas)

FIRI - The French Joint Immediate Reaction Force

"To ensure its autonomous capacity to respond to crises, France will have a national emergency level of 5,000 men on alert for constituting a joint immediate reaction force (FIRI) of 2,300 men. This force will projectable to 3,000 kilometers from the country or establishment abroad, within 7 days.
The FIRI will be composed of special forces,
- A combined arms land group (CATF in french : GTIA) of 1,500 men equipped with armored vehicles, helicopters,
- A naval group around a projection and command ship (BPC)
- 10 fighter aircraft, tactical transport aircraft,
- Maritime patrol and air refueling,
- And means of command and control associated "
.

To do this, we must rely primarily on pre-positioning bases in Africa and the UAE. In total, the armies must be able to ensure their deployment on two or three different theaters including a major as a transaction (as in Mali). As part of a major operation coercion, 15,000 soldiers will be deployable, either two arms brigades. The format of 30,000 men was not previously attainable in the previous White Book in 2008.

Sub longer notice (up to 6 months), it comes to be able to engage "in the term" up to 2 brigades representing 15 000 men, in more than 45 combat aircraft, special forces and naval forces (aircraft carriers, 2 BPCs and buildings escort included).

The FIRI is, somehow, the sum of Guépard, Tarpon and Rapace devices, and each of the three armee. It's also a mini-FAR (Rapid Action Force), as was known from 1984 to 1999, but which then had more than 40,000 men.

Source: French White Book on Defense and National Security, 2013 / 2d. New operating contracts (p. 34.)

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"Pour garantir sa capacité de réaction autonome aux crises, la France disposera d'un échelon national d'urgence de 5.000 hommes en alerte, permettant de constituer une force interarmées de réaction immédiate (FIRI) de 2.300 hommes. Cette force sera projetable à 3.000 kilomètres du territoire national ou d'une implantation à l'étranger, dans un délai de 7 jours.
La FIRI sera composée de forces spéciales,
- d'un groupement terrestre interarmes (GTIA) de 1.500 hommes équipés d'engins blindés, d'hélicoptères,
- d'un groupe naval constitué autour d'un bâtiment de projection et de commandement (BPC),
- de 10 avions de chasse, d'avions de transport tactique,
- de patrouille maritime et de ravitaillement en vol,
- et des moyens de commandement et de contrôle associés".

Pour ce faire, il faudra miser principalement sur les bases de prépositionnement en Afrique et aux EAU. Au total, les armées devront être en mesure d’assurer leur déploiement sur deux ou trois théâtres différentes dont un en tant qu’opération majeure (comme au Mali). Dans le cadre d’une opération de coercition majeure, 15 000 militaires devront être déployables, soit deux brigades interarmes. Le format de 30 000 hommes n’était déjà pas atteignable dans le précédent Livre Blanc de 2008.

Sous préavis plus long (jusque 6 mois), il est question de pouvoir engager « dans la durée » jusque 2 brigades représentant 15 000 hommes, en plus de 45 appareils de combat, de forces spéciales et de forces navales (porte-avions, 2 BPC et bâtiments d’escorte compris).

Cette FIRI est, en quelque sorte, la somme des dispositifs Guépard, Tarpon et Rapace de chacune des trois armées. C'est aussi une mini-FAR (Force d'action rapide), comme on l'a connue de 1984 à 1999, mais qui comptait alors plus de 40.000 hommes.

Source : Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale, 2013 / 2j. Les nouveaux contrats opérationnels, (p. 34.)

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